Si je m’intéresse tant aux « petits » clubs de provinciales c’est parce qu’ils créent le tissu de base du football, proche des jeunes et des gens. Sans la vitalité de ces clubs, le foot de proximité ne serait rien. Ce sont tant les joueurs, que les supporters, et tous les gens qui les encadrent qui sont concernés et méritent d’être soutenus.