Contre toute attente, cette crise pourrait être une opportunité pour le tourisme: « On a l’occasion de changer notre rapport au terroir, au territoire, de porter un autre regard sur la Wallonie. »
« Tous les opérateurs (de tourisme alternatif) existent déjà (…) mais il faut les soutenir et donner aux Wallons l’occasion d’entrer en contact avec eux, avec ceux qui peuvent nous faire rêver… à 50 km de chez nous. »
L’urgence, c’est sauver la saison 2020. « Mais l’enjeu, c’est 2021. C’est là que ça va devenir crucial et il faut y réfléchir maintenant. (…) Ça veut dire que si on soutient ces opérateurs, on ne les lâche pas pendant 3 ans. Le temps nécessaire pour stabiliser et ancrer durablement ce tourisme-là dans le paysage wallon »